Jean 20, 1. 11-18

Au ciel, il nous est impossible d’imaginer la joie de Dieu le Père qui accueille son Fils Jésus, vainqueur de la mort.

Sur terre, Marie Madeleine est venue de grand matin, sur la tombe de Jésus, elle pleure.

C’est le seul lieu qui lui reste pour rester en relation avec celui qui l’a libérée de son passé tumultueux. Mais, dans la tombe vide, deux anges s’étonnent de ses pleurs : elle veut savoir où est le corps !

Le corps !? Le voici ! En se retournant elle est en face d’un homme, un jardinier sans doute !

Mais non ! C’est Jésus !« Va trouver mes frères pour leur dire que je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu. »

Après avoir fait le constat de la mort de Jésus, la voici chargée d’annoncer qu’il est vivant !

Jésus aurait pu choisir quelqu’un de plus crédible pour divulguer une telle nouvelle, mais les meilleurs missionnaires sont ceux qui, davantage que d’autres, ont expérimenté la miséricorde de Jésus.

« Dieu, tu es mon Dieu, je te cherche dès l’aube. » (Ps.62) Pour être témoin de Jésus, il faut l’avoir cherché et vu mort, puis vivant.

Nous recevons le témoignage de ces témoins. Marie Madeleine est la première de la liste.